«Notre souverain absolu c’est la loi qui est obligatoire à tous. Il n’y a aucun Etat qui organise la fraude. La direction générale des affaires électorales a reçu la mission de soustraire les noms des agents de la force publique sur les listes électorales générales. Conformément à loi électorale, aucun bureau de vote ne sera implanté dans une caserne militaire», a indiqué Henri Bouka, le président de la Commission nationale électorale indépendante (CNEI) du Congo Brazzaville.
Le Président de la CNEI rassure sur le bon déroulement du scrutin. D’autant plus, l’opposition au Congo Brazzavile n’a pas foi en fiabilité de cette élection. Certains observateurs, émettent même des doutes sur l’impartialité de la Commission nationale électorale indépendante. Henri Bouka a donné les gages de l’impartialité de son institution.
Ce dimanche 21 mars, les Congolais sont appelés aux urnes pour la présidentielle. Le président Denis Sassou N’Guesso, au pouvoir depuis plus de 30 ans, se présente encore pour être élu. Face à lui, six autres candidats sont en course pour briguer la magistrature suprême.
De Brazzaville, Achille Tshitoko