En Egypte, les dépenses totales ont augmenté pour atteindre 33,8 milliards Usd, contre 29 milliards au cours de la même période en 2020. Les recettes fiscales représentent environ 78,8% des recettes totales et les recettes non fiscales près de 21%. Le ministère égyptien des Finances l’a présenté dans un rapport vendredi 19 novembre. Selon ce rapport, le déficit budgétaire s’est élevé à 3,1% du produit intérieur brut (PIB), contre 2,6% au cours de l’année passée.
« La poursuite de la réalisation des objectifs de contrôle financier, de soutenabilité des indicateurs de finances publiques. Mais également de rationalisation de la consommation et de mise à disposition de sources de financement sans préjudice des limites sûres de la dette publique », a déclaré Mohamed Maeit, ministre égyptien des finances.
Il indique que le soutien au réseau de protection va fournir de bons soins de santé aux citoyens. « En augmentant les allocations financières pour augmenter l’efficacité des infrastructures, des programmes de développement humain, de l’éducation et de la santé. Ce qui augmente la productivité du citoyen égyptien et contribue à améliorer la qualité de sa vie quotidienne », a-t-il ajouté.
En 2020, l’activité économique a été touchée par les allégations négatives de la pandémie de coronavirus. Et l’Egypte a été en mesure de faire face à l’augmentation des allocations pour le secteur de la santé, de l’éducation et des investissements financés par le Trésor. Mais aussi de l’augmentation des salaires et des allocations sociales.
Ali Maliki