A chacun sa con-golité ! A chacun son « ère d’essai »! A chacun son « air décès »! A chacun ses « chacun ». Sang-rouge, sang mêlé ou entremêlés.
Voire le sang outre-mêlés, sur-mêlés, moins-mêlés. Il faut que le sang soit rouge seulement comme la sueur congolaise de ceux qui ont rendu ce pays plus beau qu’avant…
Des perles et des merles…
Le débat qu’on fait même lors de nos ébats ! Houps! En fait, tout commence au lit. La con-golité surtout, ainsi que sa transmission. Comme le dit l’hymne national, « nous peuplerons ton sol et nous assurerons ta grandeur ». Le peuplement. Le remplissage de la terre. Et voilà que le pays se peuple aussi par l’élasticité de la masturbation intellectuelle, tellement féconde qu’elle pond des notions aussi féconde comme la con-golité… Avec en prime le critère principal, « de père et de mère ».
Des perles et des merles…
Con-golais de perles? Trop rare. Statistiquement inexistant ou quasi-insignifiant. Con-golais de merles par contre? Largement suffisant pour ne pas dire que nous existons excessivement…
Des perles et des merles…
Pour le plus beau de » Débout con-golais » qui nous impose à peupler seulement au pays, pas ailleurs et surtout pas avec d’autres nationalités. Pourtant, ont en compte qui font des peuplements ailleurs. En fait, être congolais de père et de mère est une obligation obligatoire pour tout con-golais con-sciencieux. Mais, surtout pour les congolais con-cernés par les grands postes de la République sans être un Con cerné par la bêtise du mélange avec le reste du monde…
Christian Gombo