Ce vent souffle tellement fort dans la capitale congolaise. C’est le « Vent des réconciliations ». Les réconciliations parce qu’il n’y en a pas qu’une seule. Alors, je vous raconte celle-ci.
Lui: Sous le haut patronage de…
Lui toujours : Non Chef…
Lui: Non! Non pourquoi ? Tu sais ce que je voulais dire?
Lui toujours: Euh…oui Chef!
Lui: J’allais dire quoi?
Lui toujours : Sous votre haut patronage x,y,z…
Lui: Et c’est faux ces x, y, z?
Lui toujours : Non chef! Vous ne faites jamais rien de faux! Vous n’avez aucun rire chinois d’ailleurs même si votre souris jaune se rapporte à votre plumage, vous êtes le haut Phénix de ce bois et…
Lui: Suffit!
Lui toujours: Oui Chef!
Lui: Tu as dit à la fin…et…et quoi?
Lui: Je disais… où je voulais dire et vous ne pouvez pas être sous le haut patronage des réconciliations des gens qui peuvent toujours malgré les bruits médiatiques se détester après? C’est la vie.
La vie c’est comme ça. Un moment on s’aime, un moment on s’aime pas. Et on peut même s’aimer sans s’aimer. Tout est possible. Mais, cela ne peut pas être sous votre patronage. Vous, vous êtes le béton qui soutient le cadre macroéconomique de l’univers. Vous, vous êtes les dieux des marigots sans eaux, et vous ne devez jamais oublier que l’oiseau de la réconciliation qui vole doit mettre des lunettes vue claire. Parce que, la vaseline ne sert plus seulement pour les bébés et les lèvres sèches, aussi, ces lunettes doivent être du Louis Vuitton si possible, car ça reste un oiseau congolais…
Mais, il faut rester prudent au vent de la réconciliation qui peut en emporter quelques un à son passage.
Christian Gombo