VeRAM, viRAM, vinRAM
C’est mon histoire ! Histoire banale sans doute. Mais ça reste mon histoire. L’histoire d’un peuple debout, mais dégoûté par Mr RAM qui nargue tout le monde en criant et vociférant partout : Veni, vidi, vinci!
VeRAM, viRAM, vinRAM
Ô RAM, regarde derrière et redevient humain, comme disent les habitants de Kinshasa, “tala sima zonga mutu!”. Au peuple fragile que nous sommes de regretter le passé en disant encore mal « Ô tempora, ô mora! Aimons le latin vivant. Car les problèmes de la vie sont en latin. Qui peut donc le comprendre en français facile? Il faudra alors faire appel aux musiciens du “Quartier Latin”. Ils portent bien leur nom. Seuls les latinistes du monde savent résoudre les problèmes qui souvent “RAMent” vers le “dRAMe”. Ô Seigneur ! Même dans “dRAMe”, il y a RAM! Et dire qu’on a toujours dit que rien n’est gratuit, surtout pas la gratuité scolaire… aujourd’hui on en a la preuve!
VeRAM, viRAM, vinRAM
RAM est venu et il nous a vu. Il nous a vaincu. Non! Il nous a accompli. Non. Je me perds encore là. Il a accompli. Zut! Encore non! Le RAM a tout accompli… Qui paie son RAM, s’enrichit! Payons le RAM. Qu’on parle latin ou pas, seule, la justification de l’utilisation de cet argent nous fera parler latin. Le chargé de RAM ne sait que parler latin. Envie de dire « jusqu’à quand RAM te moqueras-tu de nous… » Je le dirai en latin prochainement parce que je suis mieux que César Auguste ou Jules César…
Christian Gombo