Ce mercredi 11 mai, la Cour de cassation a accordé une liberté provisoire au Libanais Samih Jamal, responsable de la société Samibo et coaccusé de Vital Kamerhe, ancien directeur de cabinet du président Tshisekedi, dans le procès 100 jours.
Samih Jamal, 79 ans, a enfin trouvé gain de cause. Le Libanais, qui vient d’obtenir une remise en liberté provisoire, devra quitter la prison de Makala où il y a passé 2 ans. Ce, en attendant la réouverture de l’affaire des maisons préfabriquées.
Cette affaire a connu un nouveau rebondissement après que la Cour de cassation a annulé le jugement de la Cour d’appel, condamnant M. Jamal à 6 ans de prison. Et son coaccusé Vital Kamerhe à 13 ans de prison. Pourtant, ils avaient écopé d’une peine de 20 ans de travaux forcés au premier degré.
Avant un nouveau jugement à la Cour d’appel, Samih Jamal peut, sans doute, profiter de l’air frais loin de la maison carcérale de Makala.
Trésor Mutombo