Terreur post-électorale en Guinée, l’opposition dénonce

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L’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG), le parti de Cellou Dalein Diallo, dénonce une répression sanglante aurait fait au moins 46 morts et des centaines de blessés. Bilan non confirmé par les autorités guinéennes. Elles évoquent plutôt un bilan de 21 morts.

Depuis l’annonce des résultats de la présidentielle en Guinée, la tension est palpable. Dans plusieurs quartiers la vie est paralysée. L’opposition projette d’organiser des manifestations le lundi 9 novembre.

Ida Sawyer, responsable pour l’Afrique de l’ONG Human Rights Watch (HRW),  a accusé les forces de sécurité guinéennes d’avoir tué « au moins 8 personnes, dont 3 enfants ».

Amnesty International a accusé les forces de sécurité guinéenne d’avoir tiré à balles réelles sur des manifestants.

L’UFDG affirme également que « l’écrasante majorité des victimes (…) appartient à la même ethnie que le leader de l’opposition », dans un pays où les appartenances communautaires jouent un rôle important lors des élections.

La Rédaction

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