Après 1960: »Jungle urbaine » (Carnet de Christian Gombo)

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Qui aurait des « Larmes de joie », quand pour « Un cheveu blanc » dans toutes les « Mémoires du poète » que je suis, je me rends compte que « Mon pays va à vau l’eau ».

Dans l’entre-temps, on a 60 ans d’indépendance…

« Lutte de libération et piège de l’illusion ». Voilà la réalité vraie. La seule réalité. Depuis 1960 « Le Congo en marche » est une fable, une belle fable où l’on voit « L’éléphant qui marche sur les œufs. » Le pire est qu’en vrai, ce ne sont pas de fables.

Le pauvre Badibanga Thadée a de quoi se retourner dans sa tombe. Mais bon, il y a pire que cela dans la vie!

Depuis 1960, « Le monstre appelé corruption » a facilité « La guerre de richesses » en faisant de chaque chef, « L’ogre empereur ». Pauvre « Makalamba », « Les mathématiques congolaises » lui ont laissé plus de « Séquelles » qu' »Une envie de Kinshasa ». D’ailleurs ce Kinshasa, qui en voudrait? Personne de sensé assurément!

C’est le cœur d’un fula-fula oublié par les assurances et les contrôles techniques. C’est le cœur d’une Afrique où l’on trouve encore certaines « Miss Diva ». « Des fleurs dans la boue! » La boue de la misère grillante qui carbonise les espoirs même du sulfureux « Ebamba » dit « Mr Fix-it ».

Le pauvre, il a toujours l’impression que « Bateki Mboka ». Non! Bateka mboka depuis 1960. 1960, cette maudite année qui a suscité tant des « Pensée faux bore » de quoi espérer un jour que « Dieu sauve l’Afrique ».

Sauve l’Afrique est « Que ta volonté soit Kin » enfin car ce serait un « Geste sauveur » qui donnerait du zèle à « Mwana Tshango » qui partage « Le cauchemardesque de Tabu ».

Tabu, ce pauvre citoyen, laminé, déchiqueté, torché, écrasé, alors que comme bien de citoyens du monde, il a vécu le titre de « L’homme qui avait de projet ». Ah, »La vie des hommes »! Y-aurait-il pour cela « Un guide de voyage »?

Au pays, depuis 1960, chaque jour pourrait être « La dernière nuit », car de « La marginalisation à la nationalisation », on a pas eu un parcours authentique.

Alors force à ceux qui rêve d’un « Optimum » à la congolaise parce qu’un certain « Tshisekedi disait… » : Force à la « Vingt-cinquième lettre » qui contient plus de « 800 paroles, pour une vie meilleure ».

Dans « Le champ de Dieu », il y a aussi « Un missionnaire noir » qui attend nos « Confessions ». Cela nous emprisonnerait dans « La prison d’amour » qui fera de nous tous enfin de « Débonnaire ». Je ne crois plus que « Bolingo eza n’a bozoba » aussi vrai que « La légende du roi crapaud » est vrai et surtout réelle.

Au finish, « Ne l’écrivez surtout pas ». Surtout pas en tshiluba comme vous l’avez fait avec « Le petit prince » car il faut que les dirigeants africains apprennent à vivre les richesses de « Contes de chez nous ». C’est cela qui nous fera éviter « Les tremblements et les bâtardises ».

Trop de diplômés, que de savants et experts en tout pour une Afrique jamais génial. Après l’indépendance est pire qu’avant l’indépendance. Tout ceci, et je le pense, parce qu’on a jamais fait une sérieuse « Remise en question”…

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