Dans la jungle du Zaïre, deux lions dominants se marchent sur les pattes, conséquence: Deux parts du lion! Le peuple a faim de sa fin car rien ne va! Misère par ci, viol par là, guerre par devant, prostitution par derrière. Que de calamités ! Pendant que pour trop peu de gens, la vie en mieux avec gaspillage de ressources se conjugue au présent.
Dans la jungle du Zaïre, deux lions dominants se marchent sur les pattes, conséquence : Deux parts du lion!
Pendant qu’on parle des dépassements de budget, le peuple paient taxes, impôts, offrandes et même l’aumône avec toutes les formes de mendicité agressive qui se normalisent. Mais ce peuple a quoi comme salaire? Bien répondre à cette question devrait clouer le bec de tous ceux qui justifient les salaires des politiciens de tout bord.
Dans la jungle du Zaïre, deux lions se marchent sur les pattes, conséquence : Deux parts du lion!
Les deux premières parts reviennent aux autorités morales. Le peuple subit toutes les fessées du sort et reste toujours sans cash? Nos pseudo-savants éminents professeurs devenus politiciens honorables connaissent-ils la notion de justice distributive? Le pire est qu’ils espèrent relancer la croissance économique malgré l’instabilité du pays. Vraiment que vont-ils étudier à Genève ?
Dans la jungle du Zaïre, deux lions dominants se marchent sur les pattes, conséquence :Deux parts du lion!
En plus d’être déjà surpayés alors qu’ils ont plusieurs emplois bafouant la notion du conflit d’intérêt comme le pays a atteint le plein emploi, ces gens arrivent à justifier leurs masses salariales dans un pays qui à peine vient de moderniser les feuilles de chikwanges en les remplaçants par les sachets plastiques.
Christian Gombo