Dimanche 31 juillet, les Congolais étaient de nouveau appelés à départager cinquante candidats dans vingt-cinq circonscriptions. C’était à l’occasion du second tour des législatives. Quatorze candidats sont en ballotage pour ce scrutin.
Les bureaux de vote ont fermé dimanche soir. Aussitôt le voté terminé, le dépouillement a débuté. Les opérations de vote ce sont déroulées sans incident majeur dans l’ensemble des 1.000 bureaux ouverts à travers le pays. C’est le point fait par Henri Bouka, président de la Commission d’organisation des élections.
« Ça se passe bien, dans le calme. J’ai demandé à mes collaborateurs que le vote doit se passer dans le calme, la transparence et la vigilance (…) Ce sont des consignes que nous avons reçues », a dit la présidente d’un bureau de vote au centre de l’école primaire Alphonse Massamba-Débat, à l’AFP.
Pourtant, certains bureaux ont ouvert en retard. Il s’agit notamment au centre de vote de l’école primaire de Moukondo, dans le quatrième arrondissement.
Samedi 30 juillet, le président de la commission électorale appelle les candidats et ses partisans au calme. Le premier tour de ces élections a été remporté par le parti congolais travail (PCT), parti présidentiel. Ce dernier a décroché 102 sur 151 sièges de l’Assemblée nationale.
L’Union des démocrates humanistes (UDH-Yuki), parti d’opposition du feu Guy-Brice Parfait Kolelas, quant à elle, n’a obtenu que trois sièges lors du premier tour. Et sept autres restent en compétition.
Raymond Nsimba